Je ne comprends pas, après un lendemain de beuverie profonde, je me retrouve aux côtés de ce pur canon répondant au nom de Valentina. Ma mémoire doit me faire défaut, j’ai tout de suite pris la caméra pour immortaliser ce moment de rêve et c’est là que la belle plante me déballe tout. Cette tigresse aux cheveux d’ébène ôte ses dessous pastels pour m’offrir une poitrine généreuse, ferme et bien ronde, un corps voluptueux et en chair où je peux m’accrocher, et un cul débordant et douillet qui laisse entrevoir sa chatte lisse et épurée. Parlons-en de sa chatte, experte et développée, ses doigts frollent la bête endormie et vont attraper un gode en plastique majestueux. L’engin pénètre dans les ténèbres qui recouvrent la lueur du point G tant recherché pour se frotter aux parois sensibles de cet antre jouissive. Je n’en crois pas mes yeux, je suis au paradis, et elle aussi.